Voici un petit extrait où j’interviens de 27:20 à 30:00
j’ai perçu au travers des entretiens individuels et des groupes de paroles que le 1er confinement a donné aux personnes endeuillées l’occasion de se recentrer sur leurs ressentis, sur leur rythme. Il n’y avait pas à répondre aux injonctions sociales et familiales, ni à tenter d’aller bien pour ne pas inquiéter l’entourage et ne pas avoir l’impression de toujours se forcer pour faire quelque chose. Là, il était possible de ralentir.
Mais à chaque confinement supplémentaire, l’isolement se renforçait. De plus, toutes les activités sont devenues inaccessibles. Petit à petit, la perte de motivation s’est installée pour accentuer un sentiment de solitude et d’isolement.
A Dialogue et Solidarité nous avons maintenus les entretiens en visioconférence.